Traduction : Fabienne Duvigneau
À la mort de leur père, énigmatique milliardaire qui les a adoptées aux
quatre coins du monde lorsqu'elles étaient bébés, Maia d'Aplièse et ses
soeurs se retrouvent dans la maison de leur enfance, Atlantis, un
magnifique château sur les bords du lac de Genève.
Pour héritage, elles reçoivent chacune un mystérieux indice qui leur permettra peut-être de percer le secret de leurs origines. La piste de Maia la conduit au-delà des océans, dans un manoir en ruines sur les collines de Rio de Janeiro, au Brésil. C'est là que son histoire a commencé… Secrets enfouis et destins brisés : ce que Maia découvre va bouleverser sa vie.
Pour héritage, elles reçoivent chacune un mystérieux indice qui leur permettra peut-être de percer le secret de leurs origines. La piste de Maia la conduit au-delà des océans, dans un manoir en ruines sur les collines de Rio de Janeiro, au Brésil. C'est là que son histoire a commencé… Secrets enfouis et destins brisés : ce que Maia découvre va bouleverser sa vie.
Extrêmement frais et léger, j'ai adoré le premier tome de cette saga familiale. Chaque tome de la série met en scène une des soeurs adoptées qui compose une famille originale et de tous horizons.
Un père qui disparait dans d'étranges circonstances et laisse beaucoup d'ombre et de questions dès le début de l'histoire. Il lègue un mystérieux héritage à ces filles, celui de découvrir leurs propres origines. L'idée de départ va nous permettre de voyager à travers le monde et c'est le signe d'un dépaysement total et d'un bon suspens.
Dans ce premier tome, nous sommes au Brésil sur les traces des ancêtres de Maïa. J'ai découvert l'histoire de la construction du Christ Rédempteur sur le Corcovado dans les années 30, et au delà de la romance qui illumine le récit, la vraie histoire donne de l'ampleur et immortalise cet événement. L'auteure a fait un travail de fourmi en usant de vrais détails historiques qu'elle a distillé tout au long du récit, elle nous promène entre les faubourgs de Montmartre, les grands boulevards parisiens et Rio ! Magique !
Elle a choisit une période exaltante, l'entre deux guerres riche dans le domaine de l'art et de la culture, on voit aussi l'évolution de la femme et des moeurs... Bref, un tour de table assez complet qui nous permet de tremper parfaitement dans le roman et l'époque.
Ce côté très agréable dans la lecture, n'empêche pas certains passages d'être assez irréalistes, farfelus, prévisibles et sans doute un poil trop "fleur bleue" par moment ! Et pourtant, j'ai hâte de lire ce que Lucinda Riley nous réserve pour les autres sœurs... approfondir les secrets qui entourent le père et sa mort qui me semble suspecte... et de nous faire rêver et voyager à travers de belles romances.
... En ce moment, je suis dans le tome 2 et j'approche de la fin.
J'avoue être un peu moins emballée que par le premier, il y a une partie assez longue au début qui est une redite des premiers chapitres du premier tome. L'auteur recale de nouveau le fil conducteur des intrigues.
Je reste néanmoins très captivée par cette nouvelle histoire qui nous emmène en Norvège dans le milieu musical. La romance est toujours de mise et la conception des histoires semble un peu redondante avec un cheminement ressemblant. On verra si cela se confirme dans les tomes suivants.
Et vous ? connaissez vous cette saga ? qu'en pensez vous ?
Le Christ Rédempteur est une statue monumentale située à Rio-de-Janeiro, au Brésil. Elle est le symbole de la ville et, au-delà de ça, du Brésil entier. C'est également un symbole du christianisme parmi les plus importants du Monde.
Établie au cœur du parc national de la forêt de Tijuca, à une altitude de 710 mètres, la statue mesure 38 mètres de haut (dont 30 pour le Christ et 8 pour le piédestal, qui occupe une aire de 100 m2). Sa masse est de 1 145 tonnes, la masse approximative de la tête est de 30 tonnes et celle de chaque main de 8 tonnes. La tête mesure 3,75 m, chaque main 3,20 m, la largeur de la tunique est de 8,50 m. L'envergure entre les deux mains est de 28 mètres.
La construction a commencé en 1926 et s'est terminée en 1931. Elle a duré 5 ans.
La vue qu'offre le site exerça une fascination sur les premiers colons portugais, qui le baptisèrent mont Pináculo da Tentação (Pinacle de la Tentation) au XVIe siècle, avant de le rebaptiser Corcovado (« Bossu » en portugais) un siècle plus tard. La route qui mène à son sommet est construite en 1824. La ligne de chemin de fer du Corcovado, au départ de la gare de Cosme Velho, est quant à elle inaugurée le 9 octobre 1884 par l'empereur Pierre II du Brésil. Longue de 3 824 mètres, elle est la première du pays à être construite à des fins exclusivement touristiques. Le train, plus ancien que la statue elle-même, transportera pendant les cinq années de travaux les pièces nécessaires à sa construction.
L'idée de construire un monument religieux au sommet du Corcovado est suggérée une première fois en 1859 par le père lazariste Pedro Maria Boss. À son arrivée à Rio, il est séduit par l'endroit et demande à la princesse héritière Isabelle du Brésil de lui octroyer les moyens nécessaires à la mise en œuvre de son projet, mais son dessein, bien qu'en accord avec la monarchie d'alors, reste sans suite.
Il faudra attendre 1921 pour que l'idée soit reprise, dans le cadre des commémorations du centenaire de l'Indépendance du Brésil l'année suivante.
Le projet sélectionné en 1923 après concours est celui de l'ingénieur brésilien Heitor da Silva Costa. Il se rend en Europe afin d'exécuter la maquette définitive et d'étudier les problèmes liés à la construction. Il y rencontre le sculpteur français Paul Landowski, d'origine polonaise par son père, à qui il confie la réalisation du projet. Entre-temps, une campagne de collecte de fonds est menée, essentiellement auprès de donateurs catholiques, mais les dons tardent à arriver.
L'idée de construire un monument religieux au sommet du Corcovado est suggérée une première fois en 1859 par le père lazariste Pedro Maria Boss. À son arrivée à Rio, il est séduit par l'endroit et demande à la princesse héritière Isabelle du Brésil de lui octroyer les moyens nécessaires à la mise en œuvre de son projet, mais son dessein, bien qu'en accord avec la monarchie d'alors, reste sans suite.
Il faudra attendre 1921 pour que l'idée soit reprise, dans le cadre des commémorations du centenaire de l'Indépendance du Brésil l'année suivante.
Le projet sélectionné en 1923 après concours est celui de l'ingénieur brésilien Heitor da Silva Costa. Il se rend en Europe afin d'exécuter la maquette définitive et d'étudier les problèmes liés à la construction. Il y rencontre le sculpteur français Paul Landowski, d'origine polonaise par son père, à qui il confie la réalisation du projet. Entre-temps, une campagne de collecte de fonds est menée, essentiellement auprès de donateurs catholiques, mais les dons tardent à arriver.
Aujourd'hui le Christ de Rio, ou le Corcovado comme on l'appelle plus fréquemment, est un monument très visité, il est parmi les monuments les plus visités du Brésil. Le Christ rédempteur de Rio tient la 3e place des 7 nouvelles merveilles du monde.