Présentation de l'éditeur ( les escales noires) - Thriller -Policier
Traduction : Elodie Leplat
Deux jeunes gens sont enlevés et séquestrés au fond d'une piscine vide dont il est impossible de s'échapper. À côté d'eux, un pistolet chargé d'une unique balle et un téléphone portable avec suffisamment de batterie pour délivrer un terrible message : « Vous devez tuer pour vivre. » Les jours passent, la faim et la soif s'intensifient, l'angoisse monte. Jusqu'à l'issue fatale.
Les enlèvements se répètent. Ce sont les crimes les plus pervers auxquels le commandant Helen Grace ait été confrontée. Si elle n'avait pas parlé avec les survivants traumatisés, elle ne pourrait pas y croire.
Helen connaît les côtés sombres de la nature humaine, y compris la sienne ; pourtant, cette affaire et ces victimes apparemment sans lien entre elles la laissent perplexe. Rien ne sera plus terrifiant que la vérité.
Traduction : Elodie Leplat
Deux jeunes gens sont enlevés et séquestrés au fond d'une piscine vide dont il est impossible de s'échapper. À côté d'eux, un pistolet chargé d'une unique balle et un téléphone portable avec suffisamment de batterie pour délivrer un terrible message : « Vous devez tuer pour vivre. » Les jours passent, la faim et la soif s'intensifient, l'angoisse monte. Jusqu'à l'issue fatale.
Les enlèvements se répètent. Ce sont les crimes les plus pervers auxquels le commandant Helen Grace ait été confrontée. Si elle n'avait pas parlé avec les survivants traumatisés, elle ne pourrait pas y croire.
Helen connaît les côtés sombres de la nature humaine, y compris la sienne ; pourtant, cette affaire et ces victimes apparemment sans lien entre elles la laissent perplexe. Rien ne sera plus terrifiant que la vérité.
Ce livre a été lu dans le cadre du comité polar de la médiathèque des Sables d’Olonne, j’avoue que je n’aurai sans doute pas choisi ce livre, à vrai dire je ne suis pas férue des lectures qui abordent le sujet de la séquestration et de l'enfermement excessif, je pense avoir atteint avec Karine Giebel, le top du top avec "le purgatoire des innocents" dans ce genre, et tout me parait assez fade et éculé depuis, dans ce registre.
La 4ème de couverture nous révèle tout de suite le dilemme que va rencontrer l'équipe formée par le capitaine Fuller et le commandant Helen Grace, il faudra trouver un "serial Killer" qui cherche à faire passer des messages à travers des actes de violence sidérants, mais à qui ? et pourquoi ? son modus operandi : chercher des duos, amants, famille, amis, les séquestrer et les livrer à un choix vital, celui qui tue l'autre, vivra ! mais le rescapé pourra t il vivre sereinement dans l'ombre de son geste ? Ses victimes n'ont a priori aucun point commun, et quand celui-ci sera trouvé l'évidence apparaitra rapidement.
C'est un début plutôt prometteur pour ce court roman ! Mais J'ai trouvé beaucoup de redondances dans le récit avec un déroulement des enlèvements trop similaires, un rituel qui devient vite répétitif alors que l'enquête n'avance pas vite. D'autre part, le rythme saccadé des chapitres très courts auraient pu donner du punch à l'intrigue mais j'ai trouvé au contraire que cela donnait trop de superficialité à l'affaire, on arrive très vite à la fin, et même si le coupable à l'esprit torturé reste crédible, il arrive un peu comme un cheveu sur la soupe sans préliminaire. Pour finir sur les critiques plutôt négatives, je dirai que l'écriture est assez pauvre, elle ne m'a pas permise de rentrer dans l'univers impitoyable du meurtrier, ni des victimes d'ailleurs. Je suis restée assez distante, sans ressentir beaucoup d'émotions.
Je n'ai pas trouvé assez d'originalité dans ce récit, sauf peut-être la personnalité cachée de notre enquêtrice qui surprend, mais qui n'apporte rien et ne donne pas plus de charisme à son personnage un peu paumé, au contraire, on a du mal à la cerner par la suite. Reste le procédé inventif qui fait que le vrai meurtrier ne tue pas et laisse cette besogne à ses propres victimes !
Tout cela n'est pas très reluisant vous allez me dire, et je ne pense pas continuer la saga Helen Grace, l'histoire et les personnages ont manqué de densité pour moi, c'est assez glauque, mais l'ensemble se lit facilement et rapidement, parsemées de quelques petites
scènes peu ragoûtantes qui, elles, resteront bien en mémoire !
ça fait un pitch à la Saw, si tu connais les films.
RépondreSupprimerL'écriture est pauvre... bouarf. L'inspectrice, pas très charismatique... rebouarf. Manque de profondeur... bah rerebouarf. On va dire que je peux faire l'impasse sur celui-là?
Exact, je voulais en parler dans l'article et j'ai oublié ! enfin saw j'ai pas du tout aimé le premier... c'est trop pour moi !
SupprimerOui ...bouarf ...bouarf ...comme tu dis ! bon ça se lit hein ! mais j'ai connu mieux !
En matière de Huis clos, séquestration, Sandrine Collette a écrit un thriller vraiment pas mal avec Des noeuds d'acier. Je ne sais plus si je t'en avais déjà parlé...
SupprimerPuis-je bouarfer de plus belle, moi aussi ? :D Je sors un de mes jokers sur ce coup-là ! Lequel ? J'hésite entre le "Pas pour moi" et le "Sans façon" ^_^ Am stram gram... ;-)
RépondreSupprimerBises ma Lili !!! :)
Je vois que j'en ai découragé plus d'une sur ce coup ! àllez c'est ta pal qui va être contente ! ;) bises ma Lupa
SupprimerJ'ai beau adoré les romans policiers - sinon, je n'organiserai pas ce challenge - je sens que je n'ai aucune envie de découvrir ce livre. Je suis lasse des personnages d'enquêteurs insipides.
RépondreSupprimerOui, il y a du tri à faire ! si j'ai pu t'aider à faire un peu de ménage dans tes envies, personne ne m'en tiendra rigueur ;) ! bonne continuation dans tes lectures Sharon !
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