lundi 1 octobre 2018

Outlander - Tome 4 - Les Tambours de l'automne - Diana Gabaldon

Présentation de l'éditeur (J'ai lu) - Romance histrorique
Traduction : Philippe Safavi

Juin 1767. Afin de vibrer pleinement à l'unisson de leur profond amour, Jamie et Claire voguent vers la Caroline du Nord. Restée seule dans un XXe siècle sans saveur, Brianna, leur fille, n'a qu'une hâte : percer le secret de sa naissance, pénétrer dans ce "cercle des fées" qui peut lui ouvrir les portes du passé comme l'anéantir à jamais, et agir sur le destin qui réserve à ses parents une mort atroce. Pour qu'enfin, dans la paix, tous les Fraser répondent d'une seule voix à l'appel de leur clan.

Ici ma chronique du tome 3 - Le voyage



Voilà la 3e saison en série DVD qui vient de s’achever pour moi, un peu en retard pour le visionnage mais j’ai surtout essayé de faire durer le plaisir, car cette série est tout bonnement parfaite ! Décors et costumes somptueux et réalistes, rebondissements exaltants, personnages attachants … Bref une excellente saison encore qui illustre aussi une excellente saga romanesque et historique semée d’aventures trépidantes.

Ayant enchainé ce tome 4 directement après la série, j’ai pu me replonger exactement là où celle-ci s’arrête … au mot près, c’est dire le respect des producteurs pour le texte de Mme Gabaldon. 

J’ai donc continué avec plaisir ma lecture en ayant à l’esprit les visages choisis pour cette série et qui colle parfaitement bien au roman. 


Je ne vous raconterai rien de la suite des aventures de nos héros, déjà parce que ce serait impossible tellement il se passe de choses, il y a une foule d’histoires dans les histoires qui sont entraînantes et nous emporte dans des paysages différents. 
Le neveu de Jamie "little Yan" et sa famille, Brianna sa fille, Lord John Grey, autant de personnages, parfois au second plan, qui prennent dans ce tome une place importante et nous régale de leurs présences rafraichissantes. Je regrette de ne plus être en Ecosse, mais l’histoire se prête à ce changement de latitude et les colonies d’Amérique, notamment la Caroline sont des lieux décrits avec précision, révélant aussi un pays rude, grandiose, parfois inhospitalier et surtout peuplé d’animaux sauvages et d’indiens édifiant ...C'est un univers qui nous transporte tout autant que la magie des collines écossaises. 
L'aspect historique en toile de fond nous projette dans une Amérique est à l'aube de son Indépendance, plaisante à découvrir, mais difficile à vivre, Claire comprend tout le poids historique de cet imbroglio qui conduit doucement à la guerre. L'évolution  des personnages s'adapte à la grande histoire donnant de la crédibilité et du sentiment à toutes leurs action.

Rien que d'en parler, j’ai déjà la nostalgie de retrouver ce petit monde exilé en Amérique, et le tome 5 est désormais sur ma table de chevet. Dès que mes lectures en cours seront achevées, je reprends le chemin du mystérieux Craigh na Dun, un cercle de pierres mégalithiques au sommet d'une colline qui me laisse rêveuse et attendrie…


Le tartan en quelques mots

Il s'agit d'un tissu formé de rayures horizontales et verticales de différentes couleurs, sur un fond coloré. Les rayures entrelacées sont connues sous le nom de motif (sett). Il est originaire des Highlands.

Le tartan fut mentionné pour la première fois en Écosse en 1538. À l'origine, les membres des clans utilisaient les plantes, les mousses et les baies locales pour teindre la laine.

Le tartan est utilisé pour fabriquer les kilts.

Un kilt est un lé de tartan porté autour de la taille. Cependant, un « vrai » kilt est généralement accompagné de :
• Une bourse (ou sporran) : un petit sac porté autour de la taille, sur le kilt. « Sporran » est le mot gaélique pour « porte-monnaie ».
• Une épingle à kilt : elle sert à tenir les deux pans du kilt par devant.
• Une sgian dubh (prononcer ski-ane dou) : un petit poignard placé dans la chaussette.


Le kilt est également originaire des Highlands. À l'origine, il s'agissait d'un pan de tissu de 5 mètres de long, non confectionné. En gaélique, il était connu sous le nom de féileadh mor (prononcer philamore), ce qui signifie « grand kilt ». Il était porté autour de la taille, comme les kilts modernes, mais le tissu restant était passé sur l'épaule puis épinglé. La partie supérieure pouvait être ajustée en fonction du temps, de la température ou de la liberté de mouvement requise.

Le kilt gagna en popularité après avoir été choisi par les régiments des Highlands au service de l'armée britannique.

Aujourd'hui, les kilts sont plus souvent portés lors de mariages, des jeux des Highlands, et lors ceilidhs, danses traditionnelles par les danseurs et les membres du groupe de musique.

6 commentaires:

  1. J'ai préféré le tome 3 mais ce quatrième est vraiment excellent aussi. Que d'aventures (heureuses ou malheureuses) il arrive à nos héros ! J'ai hâte de voir ça dans la série télé dans un mois !

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    1. Oui, il est très bon, et je me suis avalée le tome en peu de temps. On commence a être bien habitué à toute la petite famille, et même si certaines situations semblent un peu rocambolesques avec des coincidences divines, ça reste une excellente détente ! ;)

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    2. Ah ça les coïncidences divines (je dirais plutôt faciles) sont la marque de fabrique de Diana Gabaldon. Je n'en ai pas forcément en tête dans les tomes 5 et 6 mais sans spoiler le 7e en est contient des belles :D

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    3. Ca c'est un peu dommage..il y en a dans tous les tomes. Ca fait du voyage 😉 on verra ça quand j y serai 😥.

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  2. C'est de l'immersion 100% réussie que voilà ! La série et le roman dans une fusion parfaite, bravo ma Lili ! J'ai tout à rattraper moi maintenant, ma PAL va en faire une drôle de tête lorsqu'elle va être au courant 😅

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    1. Oui surtout que le plus petit des tomes doit au moins faire 700 pages.😂.. mais quand ça te plait, tu vois pas le temps passer 🤗

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